L’épure des fraîches langueurs « giuffriennes » : luminosité des timbres, sens du détail, attirance équilatérale pour les formes libres.
- Gérard Rouy, Jazz Magazine
Vincent Boisseau : clarinette basse, clarinette(s)
Eric Brochard : contrebasse
Eric Groleau : batterie
L’épure des fraîches langueurs « giuffriennes » : luminosité des timbres, sens du détail, attirance équilatérale pour les formes libres.